Languages are in SAIS's DNA.
Seventeen languages are taught at SAIS. To graduate, each student must demonstrate proficiency in at least one modern language other than their native tongue. Why the emphasis on languages?
"Foreign language proficiency gives our graduates a competitive edge," according to a SAIS informational brochure that says the language programs "prepare students to converse across borders and cultures -- whether negotiating an international treaty or a corporate contract."
Languages are taught in such a way that a student can start tackling one on the first day of classes and after two years of study be ready for the proficiency exam. By that time the student is prepared to function in a professional capacity in a country where the language is spoken.
Arabic, English, French, German, Italian, Portuguese, Russian and Spanish are taught in both Bologna and Washington. SAIS DC also offers Burmese, Chinese, Hindi-Urdu, Japanese, Indonesian, Korean, Persian (Farsi), Thai and Vietnamese.
Clara Cheilan teaches French at SAIS Europe. She shared some essays recently written by her first-year students, who started studying French only last autumn. Here are extracts from three of the essays. Bonne lecture.
(Don't read French? You can try this translation tool.)
«J’ai vécu à Bologne cette année pour neuf mois et j’ai beaucoup aimé mon séjour ici. Quand je suis arrivée en août j’ai trouvé un appartement en un jour avec Salvatore, l’homme qui aide tous les étudiants à chercher un appartement.
J’ai suivi beaucoup de cours différents (…) J’ai préféré surtout le cours sur le conflit israélo-palestinien parce que nous sommes allés en Israël-Cisjordanie avec la classe, où nous avons rencontré beaucoup d’hommes politiques, des ONG, et d’autres organisations.
Je suis globalement très satisfaite de cette expérience et je pense que j’ai amélioré ma connaissance du développement et des relations internationales. L’année prochaine je continuerai mes études à SAIS Washington et je travaillerai pour une ONG dans le développement.
Cette année était vraiment une expérience très belle ! Je ne regretterai rien de cette année à Bologne.»
- Jasmin Yu
«Quand je suis arrivée à Bologne, j’étais très fatiguée et je suis allée au restaurant pour manger de la pizza. Il était 19 heures et j’étais la seule personne dans le restaurant. J’étais fatiguée pendant mes premiers jours en Italie, mais ce n’était pas difficile. C’est facile de chercher un appartement avec Salvatore et toutes les personnes qui travaillent ici sont très sympathiques.
J’ai suivi beaucoup de cours d’économie et de droit international. J’ai beaucoup aimé le cours sur les migrants économiques et le cours sur les systèmes politiques des pays en voie de développement.(…) En novembre je suis allée à Genève pour un voyage professionnel organisé par l’université. J’ai visité les bureaux des Nation Unies et j’ai parlé avec nos alunni : j’ai beaucoup appris. (…)
L’année prochaine, je serai triste de ne plus pouvoir aller à Rome pour le week-end !»
- Leah Ewald
«Quand je suis arrivé à Bologne, il faisait très chaud. La ville était très tranquille. Je pensais que Bologne était très belle et ancienne. J’ai rencontré les autres étudiants de SAIS dans un café pour boire une bière italienne. (…)
Le meilleur voyage de SAIS a été le bal de Vienne. Nous nous sommes habillés très formels et chic et nous avons dansé toute la nuit. Je suis totalement satisfait de cette expérience de Johns Hopkins à Bologne. L’année prochaine nous retournons aux Etats-Unis. Nous sommes un grand groupe d’amis et de collègues.»
- Edward Landreth
Seventeen languages are taught at SAIS. To graduate, each student must demonstrate proficiency in at least one modern language other than their native tongue. Why the emphasis on languages?
"Foreign language proficiency gives our graduates a competitive edge," according to a SAIS informational brochure that says the language programs "prepare students to converse across borders and cultures -- whether negotiating an international treaty or a corporate contract."
Languages are taught in such a way that a student can start tackling one on the first day of classes and after two years of study be ready for the proficiency exam. By that time the student is prepared to function in a professional capacity in a country where the language is spoken.
Leah Ewald, Clara Cheilan and Jasmin Yu |
Clara Cheilan teaches French at SAIS Europe. She shared some essays recently written by her first-year students, who started studying French only last autumn. Here are extracts from three of the essays. Bonne lecture.
(Don't read French? You can try this translation tool.)
J’ai suivi beaucoup de cours différents (…) J’ai préféré surtout le cours sur le conflit israélo-palestinien parce que nous sommes allés en Israël-Cisjordanie avec la classe, où nous avons rencontré beaucoup d’hommes politiques, des ONG, et d’autres organisations.
Je suis globalement très satisfaite de cette expérience et je pense que j’ai amélioré ma connaissance du développement et des relations internationales. L’année prochaine je continuerai mes études à SAIS Washington et je travaillerai pour une ONG dans le développement.
Cette année était vraiment une expérience très belle ! Je ne regretterai rien de cette année à Bologne.»
- Jasmin Yu
«Quand je suis arrivée à Bologne, j’étais très fatiguée et je suis allée au restaurant pour manger de la pizza. Il était 19 heures et j’étais la seule personne dans le restaurant. J’étais fatiguée pendant mes premiers jours en Italie, mais ce n’était pas difficile. C’est facile de chercher un appartement avec Salvatore et toutes les personnes qui travaillent ici sont très sympathiques.
J’ai suivi beaucoup de cours d’économie et de droit international. J’ai beaucoup aimé le cours sur les migrants économiques et le cours sur les systèmes politiques des pays en voie de développement.(…) En novembre je suis allée à Genève pour un voyage professionnel organisé par l’université. J’ai visité les bureaux des Nation Unies et j’ai parlé avec nos alunni : j’ai beaucoup appris. (…)
L’année prochaine, je serai triste de ne plus pouvoir aller à Rome pour le week-end !»
- Leah Ewald
Edward Landreth |
«Quand je suis arrivé à Bologne, il faisait très chaud. La ville était très tranquille. Je pensais que Bologne était très belle et ancienne. J’ai rencontré les autres étudiants de SAIS dans un café pour boire une bière italienne. (…)
Le meilleur voyage de SAIS a été le bal de Vienne. Nous nous sommes habillés très formels et chic et nous avons dansé toute la nuit. Je suis totalement satisfait de cette expérience de Johns Hopkins à Bologne. L’année prochaine nous retournons aux Etats-Unis. Nous sommes un grand groupe d’amis et de collègues.»
- Edward Landreth
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